Lundi 14 avril 2025
Paname. Chouette, encore un lundi !

Camarades,
Comment allez-vous ? Bien j’espère.

Cela fait quelques temps que je ne vous ai pas écris, et je vous prie d’accepter l’expression de mes sincères excuses. Mais j’ai un mot de mon manager, j’ai beaucoup travaillé ces dernières semaines.

C’est déjà le printemps alors qu’hier je vous envoyais mes meilleurs voeux. Je suis confiant que cela a été efficace, si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas me demander un remboursement de votre abonnement à cette newsletter gratuite.

C’est désormais une habitude — oui, c’est la deuxième fois que je le fais — : pour écrire la chronique OK Boomer de cette lettre je me suis inspiré d’un dessin de mon cher ami Gilles Rapaport. Un nouvel exercice de création littéraire qui m’a entrainé dans les coulisses de l’un des épisodes les plus glorieux de mon passé, celui où j’ai failli devenir le nouveau Robbie Williams français. Ca s’est joué à rien.

Encore merci à Sandrine pour sa relecture et ses suggestions, c’est priceless (elle ne relit pas cette partie-là, sinon elle m’aurait dit de mettre inestimable à la place !).

La version audio de la chronique — disponible sur toutes les plateformes de podcast et Youtube — a été produite par mes soins, votre bienveillante écoute vous honore.

Je vous souhaite une bonne lecture, ou une bonne écoute, et tout le reste avec.

Adésias,
Monsieur Châtellier

Chronique OK Boomer

Les marche de la gloriole

A quoi ça tient de devenir une star internationale ? De remplir des stades ? D’être l’objet d’un culte mondial ? Répondez. Ce n’est pas une question théorique.

🎧 Version audio de la chronique 🎙️

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