Un microconte de Noël à lire en famille au coin du feu
Dimanche 24 décembre 2023 La Comté, au calme.
Camarades, Comment allez-vous ? Bien j’espère.
Alors que ma famille s’affaire aux fourneaux pour m’offrir la plus belle des soirées et que les huitres serrent les fesses à l’idée de leur fin programmée, je me suis éclipsé dans mon bureau avec vue sur les verts pâturages, parce que oui il n’y a plus de saison et que la neige c’est un souvenir que j’ai conservé dans la photothèque de mon premier iPhone et que je n’ai plus jamais revu depuis, pour vous écrire ces quelques mots. Voilà, c’était mon cri du coeur à moi sur le temps qui passe et pour la sauvegarde de notre planète. Excusez la violence de ce propos liminaire.
Pour vous envoyer un mot avant de passer à table et déguster ce qui se fait de mieux sans tuer de mignons animaux, j’ai exhumé de mes archives une chronique de décembre 2020, un véritable conte de Noël que j’oserais comparer à du Dickens ou du Pagnol si seulement j’avais déjà arrosé la naissance de qui vous savez. Un texte sorti d’une époque incroyable où l’on apprenait de nouveaux mots comme confinement, distanciation sociale et personnel soignant.
Mon illustre auteur Gilles Rapaport me faisait déjà l’honneur d’un dessin et la chronique n’était pas encore éditée par Sandrine, ce qui se ressent à la lecture de ce texte si vous voulez mon avis. 🙇♂️
Je vous souhaite une bonne lecture et tout le reste avec.